L’ITINÉRAIRE DU TROUBADOUR FLEURISTE
C’est l’histoire d’un homme qui aimait inconditionnellement la nature et les fleurs mais aussi, celle d’un homme qui s’est trompé de chemin quand il a rejoint le monde des fleuristeries de luxe.
Aujourd’hui, c’est l’histoire du Troubadour fleuriste qui a appris à écouter et communiquer avec la nature. Celle d’un amour qui ne pouvait plus être tu. Mon Petit Bloem de chemin, c’est mon histoire…
Vous souvenez-vous de vos vacances quand vous étiez petits ?
Comme c’était chouette de prendre les routes secondaires. On s’arrêtait, ça et là, pour profiter, de la vue, des odeurs et du moment. Les vacances commençaient dès le démarrage de l’auto parce que sur le chemin, il y avait déjà à voir, à découvrir et profiter.
Moi c’est Hugo, je me définis comme Troubadour Fleuriste. Je suis né et ai grandi en pleine campagne, les fleurs étaient pléthores et partout autour de moi. Depuis notre plus jeune âge, alors que ma sœur voulait devenir bergère et mon frère hockeyeur professionnel, je rêvais de devenir artisan du sourire.
Sculpter des sourires sur le visage des gens, c’est ma vocation, mon ikigai.
Né dans une région où la Nature est partout, j’ai grandi au cœur des volcans d’Auvergne. Le lac et les prairies de moyenne altitude étaient les plus proches voisins… C’est dans ce petit coin verdoyant du centre de la France que j’ai cultivé l’art de contempler.
Regarder les paysages changer de robe, saison après saison, sentir les odeurs des fleurs dans les champs, cueillir des châtaignes, des champignons, des mûres … c’était nos programmes de week-end.
J’avais envie de créer avec mes mains tout en travaillant au plus proche de l’humain. Je me suis donc naturellement tourné vers la fleuristerie.
Moi à 2 ans, déjà des fleurs plein les mains
Amoureux et passionné de l’art floral « à la belge », je me suis ancré à Bruxelles et ai entamé ma reconversion.
J’ai effectué des stages et des contrats dans des institutions de renommée de la Capitale. Diplôme obtenu, j’ai travaillé chez différents fleuristes de la ville de Neder Over Heembek à Uccle j’ai eu la possibilité de fleurir des intérieurs variés et lumineux.
En Mars 2020, je découvre avec stupeur et effroi, les champs de tulipes fauchés aux Pays-Bas, rendant des hectares entiers sans floraison et des milliers de pollinisateurs sans nectars.
Août 2020, le Covid sévit encore, il emporte le magasin pour lequel je travaillais et mon emploi dans le sillage. Je décide alors de me lancer dans l’épopée de l’entreprenariat en pleine pandémie mondiale… j’ai osé ! Malgré toutes les réticences auxquelles j’ai été confronté, je suis un optimiste et je sais que cette crise va changer notre façon à tous, de voir le monde, j’espère qu’elle va bouleverser notre consommation et préfère dès aujourd’hui me placer sur le marché en offrant une alternative au commerce de fleurs actuel tant destructeur.
LES DÉFIS DU TROUBADOUR FLEURISTE
Privilégier les routes secondaires aux autoroutes polluantes
Se poser au soleil pour vendre ses fleurs plutôt que de s’enfermer dans un magasin
Rêver les yeux ouverts. Ressentir sans filtre
Partager et mettre mon art au service des sentiments humains
LE TROUBADOUR FLEURISTE EST AMATEUR DE…
Les scabieuses – Les vieilles pierres – Les couleurs surannées – La contemplation des rooftops urbains – Les bouquets généreux ou vaporeux – Le sourire des personnes âgées – Les hortensias – Promener dans les jardins – La renoncule et ses amies du printemps – Les années 50 et la dolce vita – Livrer mes bouquets en vélo ou en roller et croiser le sourire des passants…
Adresse
Studio City Gate
Avenue de la petite île, Anderlecht
1070 Bruxelles (BELGIQUE)
monpetitbloem@gmail.com
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